
La date butoir du défi 100 papiers, après avoir été fixée au 31 août, a finalement été repoussée au dimanche 20 septembre...
Or, le dimanche 20 septembre est passé comme une fusée et, fatigue du soir aidant, ma copie à moi a souffert de détours divers et avariés... la démission des piles de mon appareil numérique n'étant pas le moindre, pour le coup j'ai manqué de prévoyance !
Enfin vive le papier mâché qui vous lâche en douce quand on s'y attend le moins.
Ça commence avec de belles promesses, des formes de rêves qui lentement prennent corps, on s'enhardi, on se lâche, et au moment de la mise en couleurs... catastrophe !!
À force de mouillages répétés, d'encollages et de barbouillages, de trempettes à répétition, le jupon s'éfondre et la marotte se retrouve jambes nues au milieu de son trône de carton, incapable de monter-descendre comme il en avait été convenu, pauvres de nous...
La réfection est entamée, le séchage est lent, le résultat sera -je l'espère- à la hauteur des attentes de Mme Bas bleus (et des miennes), mais en attendant voici -pour ne pas finir comme Vatel et après d'autres tentatives plus ou moins heureuses (théatre en carton et sa ribambelle de marionnettes à doigts, mais le théatre reste désespérément vide...)- une version provisoire de ma marotte en papier véritable, un remake façon Granville dans "Peines de coeur d'une chatte anglaise" via "Le vent dans les saules" !
Et merci numéricable pour la grande panne d'aujourd'hui !

Ne manquent que la couleur, le "jupon-système" et le fez rouge... à venir !